Nissan étend sa gamme de filtres d’habitacle premium au pick-up NAVARA et à la citadine MICRA de dernière génération.
Ces filtres, composés d’une couche de charbon actif ainsi que d'un revêtement polyphénol, empêchent odeurs, particules fines, ou poussières de pénétrer dans l’habitacle.
Lancés en décembre 2017 afin de permettre aux conducteurs de véhicules Nissan de bénéficier des toutes dernières technologies en matière de filtre, ils sont à présent disponibles sur 11 modèles Nissan : les deux dernières générations du X-TRAIL, de la MICRA, le nouveau pick-up NAVARA, et toutes les générations de QASHQAI, JUKE, LEAF et PULSAR.
Un conducteur européen passe en moyenne 240 heures dans sa voiture chaque année, soit l’équivalent de 10 jours. S’ils ne sont pas remplacés périodiquement, les filtres d’habitacle se colmatent. Cela peut entraîner des problèmes de santé chez les passagers. Les experts affirment que dans le monde, jusqu’à une personne sur quatre souffre de symptômes d'allergie. Ceux-ci peuvent être causés par le pollen pénétrant dans l’habitacle des voitures[1].
Cela peut s’avérer problématique lorsqu'on est au volant. En effet, lorsqu'il éternue un conducteur roulant à 80km/h ferme les yeux sur 25 mètres, selon une étude publiée par le Automobilclub Deutschland AvD.
Nissan préconise, dans le cadre de ses programmes d’entretien périodique, de remplacer ces filtres chaque année afin de garantir une performance optimale.
Tous les filtres à air premium de Nissan ont été certifiés par les organismes de contrôle indépendants AIR TEST et RNSA. Il a été prouvé que ces nouveaux filtres neutralisent jusqu’à 96% des allergènes. Ils ne coûtent en moyenne que 5 à 10€ plus chers que des filtres classiques.
Jean-Christophe Mercier, Vice President Aftersales, Nissan Europe, remarque : « Nous passons tellement de temps en voiture, qu'il faut bien reconnaître l’importance des filtres d’habitacle pour les conducteurs. Grâce à la technologie de nos filtres premium, les odeurs, gaz et particules qui pénètrent l’habitacle sont considérablement réduits. »
[1]Étude publiée par le NCBI (Centre national de Biotechnologie) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5796967/
