- A quelques jours du changement d'heure, une enquête menée pour Nissan auprès de 6 000 automobilistes européens montre que beaucoup redoutent les conditions de conduite hivernales.
- Un tiers d'entre eux ne s'y estiment pas préparés, et près de la moitié aimeraient y avoir été mieux formés.
- Pour découvrir quel type de conducteur hivernal ils sont, Nissan invite les automobilistes insouciants et les prudents à répondre à un quiz interactif.
Alors que l'hiver approche à grands pas et que le passage à l'heure d'hiver aura lieu le 31 octobre, une enquête menée par Nissan révèle que nombre de conducteurs européens ne sont peut-être pas aussi prêts qu'ils le pensent pour affronter les conditions hivernales.
En effet, 36 % des conducteurs européens interrogés ne s'estiment pas préparés à la conduite hivernale cette année et 27 % déclarent qu'ils ne comprennent pas ou n'utilisent pas les fonctions de sécurité de leur voiture pour la conduite hivernale. Par ailleurs, 45 % aimeraient avoir appris à conduire spécifiquement par mauvais temps.
Le nouveau Nissan QASHQAI, troisième génération du pionnier des crossovers, est équipé des dernières technologies de sécurité avancées qui contribuent à faire face aux conditions de conduite difficiles en toute sérénité. « Nous savons que cette période de l'année génère souvent un sentiment d'insécurité et l'étude montre que 55% des conducteurs européens ont déjà annulé ou reporté un voyage en raison du mauvais temps. Nous avons rendu accessibles sur le tout nouveau Nissan QASHQAI des technologies simples et intuitives, permettant aux conducteurs de se concentrer sur la route et de se sentir rassurés. » a déclaré Marco Fioravanti, Vice President, Product Planning, Nissan Europe.
Conduire dans l'obscurité ou dans le brouillard
De fortes chutes de neige ou de pluie perturbent la vision du conducteur et réduisent la visibilité. Moins de la moitié -49 %- des conducteurs interrogés savent adapter leur éclairage aux conditions de conduite. Le réglage de la hauteur des phares est également problématique car seuls 59 % des conducteurs se sentent à l'aise de le manipuler eux-mêmes.
Afin de rassurer les automobilistes, Nissan a doté le nouveau crossover QASHQAI de phares matriciels, qui modifient automatiquement le faisceau lumineux des feux de route en fonction des conditions de circulation. Les autres automobilistes apprécieront également cette technologie car elle permet, de façon automatique, d'éviter d'éblouir les usagers de la route venant en sens inverse.
Conduire sur le verglas ou la neige
Cela commence avant d'entrer dans la voiture. La majorité des conducteurs -52 %- n'attendent pas le désembuage complet du pare-brise avant de prendre la route, ce qui peut les mettre en danger, eux-mêmes et les autres.
Le pare-brise du nouveau QASHQAI peut être équipé d'un système de dégivrage intégré, selon version. Neige ou givre peuvent être facilement éliminée en quelques instants, offrant une vision optimale par tous les temps. De plus, afin d'améliorer le nettoyage du pare-brise, les ingénieurs de Nissan ont déplacé les buses de pulvérisation des lave-glaces sur les essuie-glaces, là où ils sont le plus efficace pour nettoyer le pare-brise.
L'étude menée a également montré que trois quarts des conducteurs européens ne se sentent pas totalement confiants quant à la manière de contrôler une perte d'adhérence sur route verglacée, et près des deux tiers ne se sentent pas totalement confiants quant au choix des pneumatiques à utiliser lorsqu'il neige; ou encore à l'évaluation de la bonne distance d'arrêt par temps humide.
Par temps de neige ou de pluie, les distances de freinage augmentent, il faut donc ajuster la vitesse. Malgré cela, les deux tiers des conducteurs européens ne contrôlent pas leurs freins avant de prendre la route, et plus d'un tiers -37 %- ne conduisent pas plus lentement lorsque la météo se dégrade. Enfin, 30 % des conducteurs européens pensent que la distance d'arrêt est triplée dans ces conditions, alors qu'elle est en général multipliée par dix.
Avec le nouveau crossover QASHQAI, Nissan introduit pour la première fois en Europe sa technologie qui utilise une fonction prédictive permettant de voir au-delà du véhicule qui précède et d'appliquer un freinage automatique pour éviter une collision.
Pour une conduite encore plus sûre, le troisième opus du Nissan QASHQAI est disponible avec une transmission intégrale sophistiquée qui surveille en permanence l'adhérence et distribue la puissance aux roues arrière en une fraction de seconde lorsqu'il détecte une perte d'adhérence des roues avant. De plus, les conducteurs peuvent sélectionner le mode de conduite le mieux adapté en fonction des conditions ou de leurs préférences, variant entre neige, tout-terrain, sport, éco et standard.
Une conduite plus sûre
Pour permettre au conducteur de rester concentré sur la route, le nouveau Nissan QASHQAI est équipé d'un affichage tête haute de 10,2'' qui projette dans son champ de vision les instructions de navigation, ainsi que les informations-clé en matière de vitesse et d'assistance à la conduite.
La technologie de conduite assistée ProPILOT avec Navi-link gère direction, distances de sécurité et vitesse sur voie rapide. Elle peut désormais adapter automatiquement la vitesse de la voiture selon les changements de limitations, ainsi que la topographie. De plus, le nouveau Nissan QASHQAI utilise une caméra pour surveiller la position de la voiture la voie et intervenir doucement afin de corriger sa trajectoire si elle sort de sa ligne.
Les conducteurs les plus sereins à l'arrivée de l'hiver, et tous les autres, peuvent tester leurs connaissances en matière de conduite hivernale en répondant au quiz interactif Nissan. En plus de se renseigner sur la technologie de sécurité avancée dont ils peuvent bénéficier, quel que soit leur type de conduite, les automobilistes peuvent se familiariser avec les cinq règles d'or de Nissan pour une conduite hivernale en toute sécurité :
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Note aux rédacteurs
Tous les chiffres indiqués dans ce communiqué sont issus d'une enquête OnePoll effectuée auprès de 6000 automobilistes européens qui conduisent au moins une fois par semaine, résidant en Allemagne, en Espagne, en France, en Italie ou au Royaume-Uni. Enquête réalisée du 10 au 20 septembre 2021 selon la méthode des quotas.
